« Nous pensions alors qu’un pays vaut souvent ce que vaut la presse. Et s’il est vrai que les journaux sont la voix d’une nation, nous é́tions dé́cidés, à notre place et pour notre faible part, à élever ce pays en élevant son langage. »
Albert Camus. « Critique de la nouvelle presse », Combat, 31 août 1944